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Nouveau Stade de Bordeaux : la première ligne est tracée (portfolio) |
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Lundi, 23 Mars 2015 16:59 |
Fin du chantier Après la visite des nouveaux vestiaires flambants neufs, les joueurs et le staff des Girondins ont accompagné Alain Juppé et Jean-Louis Triaud pour le traçage de la première ligne de touche. Le milieu de terrain Grégory Sertic s’est joint à eux pour faire avancer la machine. Un traçage au cordeau… ou presque pour le vice-capitaine bordelais, plus adroit avec ses pieds qu’avec ses mains. La pose de la peinture sur la nouvelle pelouse marque la fin d’un chantier qui aura duré plus de deux ans. Depuis le début des travaux en novembre 2012, et la pose de la première pierre au mois d’avril suivant, tout est allé très vite. « J’ai l’impression que la présentation des maquettes, c’était il y a un an » a avoué le président des Girondins de Bordeaux. « On prend un coup de vieux, mais le stade est très agréable. Sans chauvinisme, c’est l’un des plus beaux d’Europe » a assuré Jean-Louis Triaud au maire de Bordeaux. Époustouflé par la luminosité du stade, Alain Juppé a lui trouvé l’enceinte « magnifique ». La visite s’est ensuite poursuivie en tribune, puis dans les coursives du 1er étage. Des joueurs impliqués Au-delà de l’aspect symbolique, l’excursion a permis aux 18 joueurs présents de s’imprégner de la pelouse et de l’environnement de leur nouvelle enceinte. Car dans deux mois, les bordelais recevront Montpellier ici-même pour un match qui sera sûrement décisif dans la course à une qualification en coupe d’Europe. C’est en tout cas ce qu’espérait le président. « C’est un objectif. Le match du 23 mai sera peut être capital. On ne veut pas que les joueurs débarquent pour la première fois dans le stade comme leurs adversaires. Il y aura aussi des entrainements sur cette pelouse avant de recevoir Montpellier pour qu’ils s’approprient bien le stade, les distances. » Deux jours après une triste défaite à Toulouse, cette visite aura peut-être servi à motiver les joueurs pour aller chercher la qualification. La promesse d’une coupe d’Europe dans ce magnifique stade en faisait déjà saliver certains. Tristan Baudenaille-Pessotto
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