Thomas Salvador, désormais un gros poisson |
Lundi, 13 Octobre 2014 06:00 |
Pour son saut dans le grand bain des longs-métrages, le déjà bien repéré Thomas Salvador a fait des étincelles avec son « Vincent n’a pas d’écailles » : hier, à l’UGC. Son « film de super-héros bressonnien », pour reprendre les termes du programmateur Léo Soesanto, a été distingué par le Grand Prix du jury “Domaine Clarence Dillon” lors de la cérémonie de clôture de la 3e édition du Festival international du film indépendant de Bordeaux, remis par le président du jury, le directeur de la photographie britannique Peter Suschitzky.
Le Prix du Syndicat français de la critique de cinéma est allé à « Titli » de l’Indien Kanu Behl et celui du Jury Erasmus+ à « Mercuriales » du Français Virgil Vernier, qui s’est vu aussi attribuer une “mention spéciale” par le jury principal. Côté courts, qui rentraient cette année en compétition, le trophée est allé aux Français Jonathan Vinel et Caroline Poggi avec « Tant qu’il nous reste des fusils à pompe ».
Photo : © Laurent Thurin-Nal |