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Descente de Trans(e) pour les I Me Mine PDF Imprimer Envoyer
Lundi, 08 Décembre 2014 06:00

Du « off » du Printemps de Bourges au « on » des Transmusicales de Rennes, il y avait un sacré pas, qu’ont réussi à franchir nos I Me Mine avec leur pop 60’s psyché et leurs shows hypervitaminés. Après une autre date, à Paris cette fois, ils seront de retour jeudi pour une release party à l’I.Boat. Entretien avec Frédéric Schang, son chanteur, claviers et guitariste.


 

Comment en êtes-vous arrivés à être dans la prog’ officielle des Trans, et comment s’est passé le concert vendredi ?

Cette année, on était très décidés à aller jouer au Printemps de Bourges, et on s’est trouvé quatre dates. Dans le « off » du festival, mais sur une scène bien placée. Jean-Louis Brossard, le programmateur des Trans, est passé une fois, puis un autre soir et un troisième ! Le courant est passé tout de suite, c’est quelqu’un de simple, chaleureux et vraiment passionné : avec lui, on n’a parlé que de musique.


Les Trans, c’était notre première fois, même comme public, on ne savait pas trop à quoi s’attendre. En plus, c’était notre premier concert avec nos propres ingé son et technicien lumière, un show qu’on a rodé en résidence en novembre au Krakatoa de Mérignac – l’une des deux structures qui nous accompagnent avec sa Pépinière, en plus de la Rock School Pro de Barbey. Ça s’est bien passé, la salle était plutôt pleine et elle nous a fait un super accueil. Là, ça y est, la pression redescend…



Vous aviez la pression parce que vous aviez en tête des retombées particulières ?

Disons, une pression positive. On nous a beaucoup parlé des enjeux dans notre entourage pro : faire parler de nous, élargir notre réseau… On se disait qu’il faudrait être encore meilleurs, encore plus énergique sur scène que d’habitude – mais ça allait, on avait l’équipe au complet et on avait beaucoup travaillé. Pour le reste, en fait, d’autres aussi ont bien bossé : pour la première fois on avait un attaché de presse, ce qui nous a donné pas mal d’écho dans la presse locale, un passage sur Le Mouv’ et une session acoustique sur FIP ; et notre tourneur, le Toulousain Les Jeudis du rock, a déjà commencé à nous caler pas mal de nouvelles dates.



Les deux premiers EPs et le nouveau single « Waiting For Summer »* ont été autoproduits. Vous avez trouvé un label pour l’album à venir ?

Oui, enfin, on est en discussion avec un label – on ne peut pas encore dire lequel mais c’est un label indépendant, plutôt à notre image. L’album est bien avancé, parce qu’on a vraiment une idée précise de ce qu’on veut faire. Mais on ne sait pas encore très bien quand on va le sortir, courant 2015. Tout ça va dépendre aussi du booking (les dates de tournée, ndlr), on essaie de faire coïncider le tout. Parce que c’est tout de même la scène qui porte notre projet, qui nous fait avancer. •

Recueilli par Sébastien Le Jeune 


* Sortie officielle aujourd’hui : www.imemine.fr
(Plus que quelques euros – et quelques heures ! – pour boucler le budget du vinyle : vous pouvez contribuer sur www.kisskissbankbank.com)

Release party ce jeudi 11, avec les copains du collectif Les Disques du Fennec : Le A, Sleepy John Corbeck plus des lives acoustiques surprise. I.Boat, 19h, 5€. www.iboat.eu

Photo : « C’est la scène qui nous fait avancer. » © Chris Rod

 

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