Danse : de la cour d’Avignon à la scène du Grand Théâtre |
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Mardi, 08 Janvier 2013 11:45 |
On y danse, on y danse, dans le Cloître des Célestins et sur la Cour d’Honneur, chaque été en Avignon, et souvent de belle manière. Chaudement applaudie, par exemple, la chorégraphe belge Anne Teresa de Keersmaeker, qui déclinait en 2010 et 2011 son diptyque «En atendant» (avec un seul “t” comme en ancien français) et «Cesena», qu’on a la chance de voir se succéder au Grand-Théâtre avec le concours du TnBA – la première ce mardi soir et demain, la seconde vendredi et samedi (20h, 10-30€). Deux ballets lumineux sur fond d’“Ars Subtilior”, musique polyphonique du XIVe siècle, même si le propos est sombre, évoquant en filigrane les guerres d’alors, de religion notamment... comme en écho à notre propre époque. Brillant. Tél. 05 56 00 85 95 ou www.opera-bordeaux.com On y danse, on y danse, dans le Cloître des Célestins et sur la Cour d’Honneur, chaque été en Avignon, et souvent de belle manière. Chaudement applaudie, par exemple, la chorégraphe belge Anne Teresa de Keersmaeker, qui déclinait en 2010 et 2011 son diptyque «En atendant» (avec un seul “t” comme en ancien français) et «Cesena», qu’on a la chance de voir se succéder au Grand-Théâtre avec le concours du TnBA – la première ce soir et demain, la seconde vendredi et samedi (20h, 10-30€). Deux ballets lumineux sur fond d’“Ars Subtilior”, musique polyphonique du XIVe siècle, même si le propos est sombre, évoquant en filigrane les guerres d’alors, de religion notamment... comme en écho à notre propre époque. Brillant. Photo : © Anne Van Aerschot |