Le revoilà enfin, dès dimanche et pour nous tenir en éveil jusqu’à Noël. 
Qui-que-qui-quoi ? Sur un petit nuage bien sûr ! Le festival de spectacles pour toute la famille profite de sa 13e année pour prendre le large dans l’agglo. Trop bien !


Il fallait s’y attendre : avec tous les tubes qu’ils ont chanté ensemble, France Gall a réussi à goupiller « Résiste », une comédie musicale dont la trame (les rêves d’ascension d’une serveuse en boîte de nuit) s’inspire des chansons de Michel Berger – « Résiste » « Débranche », « Si Maman Si », « Viens je t’emmène » ou « La Groupie du pianiste ».

On vous avait annoncé son ouverture – en pleins beaux jours. La grisaille ouvre une fenêtre idéale pour aller voir la magnifique expo de street art « Expressions urbaines » à l’Institut culturel Bernard Magrez. Plutôt que de longs discours, on laissera parler les images de notre photographe Anthony Rojo.


L'Afrique et sa diaspora, Shakespeare et la crise économique, philo et mondialisation... Quand la culture sert à ouvrir le débat, c'est demain jeudi, et vendredi.

Après avoir fait danser la place Saint-Michel pour l’inauguration de Novart, Anthony Égéa et sa Cie Rêvolution sont de retour dès vendredi au TnBA pour huit représentations de « Bliss » (“extase” en anglais), une vibrante plongée dans l’univers electro créée en septembre au festival Cadences d’Arcachon. Entretien.


Clubbing, dîner-concert, comédies et autres incontournables revues à strass et paillettes... Toutes les salles sont déjà sur leur 31. Une petite sélection pour bien passer le cap de 2015.

Dans ses murs tout beaux tout neufs, le cinéma Les Colonnes, à Blanquefort, inaugure ce soir leur ciné-club avec une formule inédite puisque ce sont les étudiants en cinéma de l’Université Bordeaux Montaigne qui se chargeront d’animer les débats après la projection.

Petit à petit, avec sa prog’ indé toujours bien ficelée, il fait son nid, le Winter Camp Festival. Parti de la capitale, il essaime maintenant dans sept villes de France dont Bordeaux, déjà partie prenante l’an dernier et qui passe cette fois à la vitesse supérieure avec trois soirs de réjouissances. Ça démarre ce mardi soir avec le Newyorkais d’origine uruguayenne Juan Wauters (en haut à g.).

Du « off » du Printemps de Bourges au « on » des Transmusicales de Rennes, il y avait un sacré pas, qu’ont réussi à franchir nos I Me Mine avec leur pop 60’s psyché et leurs shows hypervitaminés. Après une autre date, à Paris cette fois, ils seront de retour jeudi pour une release party à l’I.Boat. Entretien avec Frédéric Schang, son chanteur, claviers et guitariste.