Un quart de siècle que « Tristan und Isolde » n’avait été monté à Bordeaux. Le monument de Wagner retrouvera demain le premier plan grâce à la grande fosse de l’Auditorium, et à un Paul Daniel grand amateur du compositeur allemand.


Ce qu’ils sont vernis, ces étudiants, chouchoutés par toutes les salles de l’agglo avec des tarifs défiant toute concurrence ! Mais heureusement, il n'y en a tout de même pas que pour eux.

Infatigable Akhenaton. En pleine tournée d’IAM, son charismatique leader a livré « Je suis en vie », un 5e album solo montrant, si besoin était, qu’il a toujours une place influente dans le “rap game” d’aujourd’hui. Entretien avant sa venue en concert, le 2 avril au Rocher de Palmer, à Cenon.

Un festival par et pour les étudiants, mais pas seulement : les Estudiantines reviennent toute la semaine pour une 6e édition, toujours entre expos, rencontres et spectacle vivant.


Moins rigolo mais avec la fibre aussi sociale que son frère Marc, Pierre Jolivet a signé des films très remarqués – « Force majeure », « Ma Petite Entreprise » ou le scénario de « Subway » de Besson. Il nous revient avec « Jamais de la vie ».

Tant qu’à être là ce vendredi soir au Fémina pour son dernier spectacle où, promet-il, on sera certain qu’il n’est plus un ado attardé, Max Boublil reste aussi demain samedi pour présenter en avant-première « Robin des Bois, la véritable histoire » au Gaumont Talence à 17h.

Cette année, c’est par la case Rocher de Palmer, à Cenon, que passe le festival de BD de la Rive droite Bulles en Hauts de Garonne. Rendez-vous demain et dimanche en compagnie d’auteurs qui savent aussi se donner en spectacle.


Cette fois, c’en est vraiment fini de l’hibernation pour Allez les filles. En plein festival Les Femmes s’en mêlent, les autres concerts reprennent à un rythme soutenu : Popa Chubby ce jeudi soir au Rocher de Palmer et, demain au Bootleg, le retour des Struts (photo), un des gros cartons du festival Relâche l’été dernier.

La formule, signée Bénédicte Soula dans « Les Trois Coups », est bien trouvée pour décrire le foisonnement créatif qui a présidé à la naissance de « Princes », des Bâtards dorés, à voir pour cinq représentations à la Manufacture Atlantique