Pour monter sa première pièce, Malick Gaye s’est lancé dans un pari fou : faire appel à la générosité des internautes et en faire les «actionnaires de son rêve». 68 000 pour être précis, pour autant d’euros nécessaires à la mise en place du projet.

Marvin, Papier Tigre, Pneu et Electric Electric : la crême de la scène noise hexagonale est réunie ce soir à la Rock School Barbey pour «La Colonie de vacances». Mais pas pour une classique succession de concerts, non. Pour un grand concert unique en quadriphonie.

Hasard du calendrier ou volonté délibérée, trois nouvelles propositions tombent en ce jour dédié  à la gente féminine. Et toutes trois ont la particularité de mettre une femme seule sous les projecteurs.

Une plinthe qui manque de respect aux angles droits, des œuvres sur papier qui racontent des histoires sonores et des images lumineuses qui évoquent des paysages urbains en ruine, voilà ce que le visiteur découvrira à Bordeaux jusqu’aux derniers jours de l’hiver en poussant les portes des galeries d’art contemporain ACDC, Cortex Athletico et Ilka Bree.

Qu’il prend de l’ampleur, le festival Swing Time ! Auparavant cantonné aux Chartrons et concentré sur deux jours, il passe à la vitesse supérieure en essaimant dans plusieurs lieux de la ville et démarre ce soir pour durer jusqu’à dimanche.

Toujours rien trouvé pour faire plaisir à votre chéri(e) en ce jour hautement symbolique ? Que vous ayez ou non décidé de marquer le coup pour la Saint-Valentin, ce soir, il y en a pour tous les goûts.

Les trois nouvelles expositions à voir au CAPC s’offrent comme une balade dans l’art de notre temps des années 1960 à aujourd’hui. L’occasion de voir ou revoir les œuvres conceptuelles et radicales de trois figures historiques de l’art contemporain Claude Rutault, Daniel Buren et Mario Merz et de se confronter aux pratiques de jeunes artistes bordelais, la tribu à géométrie variable Dispersion créée en 2009 et le photographe autodidacte Michel Nguie.

L’Union ne voudrait pas tomber en rade demain. Actuellement 3e du Top 14, Mayol fait office de forteresse difficilement prenable (une seule défaite à domicile). Le manager Marc Delpoux connaît la difficulté de la tâche mais mise sur l’état d’esprit de son groupe pour surprendre une nouvelle fois. Entretien

La vague de froid touche tous les aspects de la vie quotidienne, y compris la culture. Plusieurs manifestations et spectacles ont dû s’adapter à cette nouvelle donne. Baisse de fréquentation, chute des réservations, transports difficiles, conditions inconfortables pour les artistes ou le public... Les organisateurs doivent s’adapter à la rude loi climatique.

Final en fanfare, et à Bordeaux, pour le festival «Des souris et des hommes» avec deux propositions à l’affiche du TnBA : le «Tout le monde veut vivre» de Hanokh Levin, et le déroutant «Sans objet» de la Cie 111. Rencontre avec Aurélien Bory, le créateur de cette dernière.