Pour ou contre la pratique du skateboard à Bordeaux ? Le débat a animé le site sudouest.fr et les colonnes du journal « Sud Ouest » cette semaine.

De l’autre côté du Jardin Public, le carrefour entre la rue Lagrange et la rue Le Chapelier va changer de visage en 2017.

C’est une rue de Bordeaux avec une image qui lui colle à la peau, dont elle peine à se défaire depuis dix ans : la « rue des kebabs », entre la place Gambetta et la rue Fondaudège, elle n’a pourtant plus rien à voir avec ça. Enfin si, il reste trois restos à kebabs, mais tout autour, la rue du Palais Gallien s’est complètement transformée.

Avec un album aussi canon que « By Any Beats Necessary » (Le Lab’oratoire), pas étonnant que le concert de Wax Tailor, samedi au Rocher de Palmer, affiche déjà complet. Pas grave, on l’a interviewé quand même.

Le phénoménal chantier de la gare sera terminé pour l’arrivée de la LGV le 2 juillet 2017. Les voyageurs qui monteront et descenderont dans les trains reliant Bordeaux et Paris en 2h05 seront protégés par une grande halle entièrement refaite. L’extension côté Belcier sera terminée, les restaurations des petit et grand halls du bâtiment historique et celles des marquises de la façade aussi.

Début novembre, BD Avenue a ouvert ses portes au n°7 du cours de l’Intendance à Bordeaux. La librairie dédiée à la bande dessinée et ses produits dérivés n’y restera pas longtemps. Elle déménagera en janvier au numéro 4 du même cours alors qu’on l’attendait initialement dans des locaux place Puy-Paulin, juste à côté du nouveau magasin de prêt-à-porter Uniqlo. Vous suivez toujours ?.

S.O Good, festival de la gastronomie et de l’art de vivre, démarre demain. Pendant trois jours, Bordeaux devient la capitale de la gastronomie.

Selon une information du journal «Sud Ouest» relayée hier après-midi sur son site, il n’y aura pas de patinoire place Pey-Berland pour ces fêtes de fin d’année. Ni pour les suivantes a priori.

C’est sûrement l’une des bibliothèques les plus méconnues de Bordeaux. Peut-être, parce que pour y entrer, il faut passer par le Jardin Public.

Les cinq ans d’existence sont synonymes de nouvel élan pour l’Institut culturel Bernard Magrez. Sous la houlette de sa nouvelle responsable, le magnifique hôtel particulier de la rue Labottière entend s’ouvrir encore plus sur le quartier et sur la ville.