C’est un grand nom du punk qui fait l’honneur de sa visite au Fiacre, ce soir : Pat Kebra, l’ex-guitariste d’Oberkampf, mythique groupe des années 1980. 


Parmi les temps forts de cette édition du festival Des Souris Des Hommes du Carré-Les Colonnes, la venue de l’iconoclaste duo lillois Halory Goerger et Antoine Defoort.

Eh oui, dix ans déjà que la Cie des Marches de l’Été fait pétiller ses courtes bulles de création contemporaine dans l’agglo ! Petites par la durée, les propositions émanent toutes – ou presque – de grandes figures des arts de la scène... au sens large, puisque l’événement se veut complètement transdisciplinaire.

Quel plaisir de retrouver (si on est grand) et de découvrir (si on est petit) les merveilleux «Contes du Chat perché» de Marcel Aymé. Encore plus si ces aventures mouvementées de Marinette et Delphine dans la ferme aux animaux qui parlent deviennent opéra! «Chat perché, opéra rural», c’est une grosse production comme pour les adultes

Toujours autant d’invités prestigieux, ces temps-ci, dans les librairies. Rien que ce soir, on aura le choix, selon sa sensibilité : Mollat reçoit, à l’initiative de Permanences de la littérature, la poétesse Valérie Rouzeau (photo), lauréate du Prix Apollinaire 2012 pour son recueil «Vrouz»

Dès ce soir, la programmation du festival Des Souris, Des Hommes s’affole, notamment au Carré de Saint-Médard-en-Jalles. À l’affiche, dès 17h, la Plateforme, un ensemble de «works in progress» présenté par des compagnies régionales, puis la création très attendue de la nouvelle pièce de Renaud Cojo, «Oeuvre/Orgueil», pour laquelle il a parcouru pas loin de 28 000 km sur les routes de France, à la recherche de noms de patelins étranges et d’homonymes de Gérard Depardieu. Fou ? Non, Cojo...

Les amateurs de cirque (vraiment) pas comme les autres vont être ravis: pour étrenner la nouvelle Esplanade des Terres-Neuves, à Bègles, BurenCirque a déployé autour son chapiteau son écrin bariolé aux rayures caractéristiques.

De la même manière qu’à la Rock School on n’apprend pas que le rock, Barbey, la salle, est ouverte à des esthétiques très diverses. Coup d'oeil sur le programme à venir.

Ceux qui trouvent que l’Institut culturel Bernard Magrez, né en 2011 seulement, s’est déjà forgé une belle place dans le paysage de la diffusion des arts, n’ont encore rien vu. Le centre de mécénat culturel voulu, créé et financé par le magnat du vin n’a pas fini de surprendre. À quelques jours de la fermeture de sa quatrième exposition, «La Belle et la Bête», tour d’horizon  des nombreux projets pour 2013.

Le festival estival clermontois EuropaVox fait des petits avec une tournée hivernale destinée à promouvoir des groupes qui montent sur le continent. Parmi les 10 villes étapes, Bordeaux et sa Rock School Barbey, qui récupère un plateau prometteur demain soir.