Du parc Bourran à celui de l’hôtel de ville en passant par le fronton de la médiathèque, ce sont une foule de lieux emblématiques de Mérignac qui vont vibrer cet été au rythme de spectacles en plein air : plus de 25 propositions en tout émaillent les Escales d’Été.


Premier à s’élancer ce soir, au Parc Palmer pour l’inauguration du Festival des Hauts de Garonne, Bachar Mar-Khalifé, multi-instrumentiste hors-pair d’origine libanaise distillant un étonnant mélange d’electro, de chanson et de musique orientale. 


A partir de demain et jusqu’au 3 octobre, l’Office de Tourisme de Bordeaux fait découvrir tous les jeudis, à 21h30, cinq œuvres du sculpteur catalan Jaume Plensa en compagnie d’un guide conférencier.

Dans le cadre de ses Scènes d’été, le Conseil Général investit à nouveau l’Estuaire avec ses Histoires d’îles, ou comment faire de la nature un spectacle. Cette semaine, on retrouvera par exemple, Rive droite, non loin de Bourg, Anne Saffore dans son parcours photographique «Sérénissimes eaux».

«Si vous n’allez pas au Grand-Parc, le Grand-Parc viendra à vous.» Ainsi pourrait-on résumer l’initiative de Grand Parc en Fête qui, c’est nouveau, propose un prélude ce soir cour Mably. De quoi donner envie à tous de poursuivre les festivités sur place jusqu’à vendredi.

Il va falloir faire vite car les places partent comme des petits pains : pour leur 10e édition, les Estivales de musique en Médoc invitent les grands noms passés par le festival pendant une décennie. Cueillis au sortir de grands concours internationaux, tous ont eu depuis une belle carrière, à l’instar du chef d’orchestre Darrell Ang, qui dirigera l’ONBA samedi. Entretien. 


Certains regretteront peut-être leur côté bruitiste, brouillon pour ne pas dire bordélique de leur début, «Native To». Enfin, avec «I’m Leaving», toujours chez Kitsuné, le trio british Is Tropical réussit un joli coup.

Ah, Line Renaud, «Étoile des neiges», le Moulin Rouge, les années Las Vegas, l’ami Chirac, le Sidaction... Ça ne se fait pas de dire l’âge d’une dame, mais quand on est née en 1928, on en a vu du pays et du beau monde, et on en a des histoires à raconter, forcément.

Ouf, les beaux jours sont là, juste à temps alors qu’on rentre dans le dur de la saison des festivals. Focus sur le poids lourd du coin, Garorock, et plus précisément sur Make The Girl Dance, la machine electro estampillée made in Sud-Ouest.