C’est parti pour Des Souris, Des Hommes, 
le festival des arts de la scène monté par Le Carré-Les Colonnes (notre édition d’hier)... qui démarre fort et tout en danse !

Pour elle, ç’a été un rêve de jeunesse qui s’est réalisé, en 2009: avoir son propre orchestre de chambre. L’Ensemble Orfeo 55 est l’aboutissement de 25 ans de carrière pour Nathalie Stutzmann, extraordinaire contralto qui a joué avec les plus grands

Gourmands et musicaux pour les plus grands, plus ludiques pour les petits : sur la péniche-concert des Bassins à flot, on garde le cap avec la reprise des ateliers, dès demain. 


Les histoires les plus courtes sont les meilleures? Pas dans le cas des Frères Taloche, qui viennent ce soir au Fémina fêter leurs 20 ans de pitreries et de blagues belges. Entretien avec Vincent Taloche, le plus jeune frère du duo.


Ils ne seront par ici que dans un mois, mais étant donné que les places partent comme des petits pains pour leur date du 15 février au Krakatoa de Mérignac, autant vous en parler tout de suite: les Lilly Wood & The Prick sont de retour, et en pleine forme! Rencontre lors de leur tournée promo, en décembre dernier.

Porté par la volonté de son directeur, Patrick Duval, de faire du Rocher de Palmer, à Cenon, un vrai espace de vie inséré dans la cité, le Bar du Rocher est désormais ouvert chaque après-midi. Un lieu sympa pour se détendre avec, outre les boissons et tapas, une bonne programmation musicale et un accès WiFi gratuit. Sans oublier l’accès aux expos temporaires et à la Cabane du monde, l’espace ressources du lieu. 
www.lerocherdepalmer.fr 



Fidèle à lui-même, Le Carré-Les Colonnes propose avec la 6e édition de son festival Des Souris, Des Hommes de découvrir la crème des arts de la scène d’aujourd’hui. Local ou international, jeune public ou grand public, il y en a pour tous les goûts. De quoi en prendre plein les yeux ! 


Finie, la trêve hivernale ! Les pointures du monde de l’édition reprennent dès aujourd’hui la grande valse des rencontres et signatures dans les librairies de l'agglomération.

C’est dans la boîte ! Après 21 jours de tournage répartis sur deux ans, le bouillonnant collectif bordelais Borderline a mis la dernière main à son premier long-métrage intitulé... «Borderline».
La folle virée nocturne de Johnny Boy, un dealer à la manque aux prises avec des gros bonnets du milieu, a été entièrement tournée à Bordeaux, et s’inspire des films de Scorcese et de la série des «Pusher» de Nicolas Winding Refn – avec un soupçon d’humour en plus. La projection gratuite, ce lundi soir à 21h à l’Utopia, ne devrait pas manquer de faire salle comble.