La comédienne et dramaturge Delphine Salkin s’empare du studio de création du TnBA pour monter le féroce «Sous la ceinture» de l’auteur newyorkais Richard Dresser. Drame ou comédie ?


Deux éminentes figures de la pensée contemporaine vont se succéder à la librairie Mollat. Ce soir, à 18h, on ira à la rencontre du philosophe Jean-Claude Monod pour une réflexion autour de l’autorité et de son besoin d’incarnation évoquée dans son «Qu’est-ce qu’un chef en démocratie ? Politiques du charisme» (Seuil).

Très instructive exposition que celle à l’affiche actuellement au musée des Arts décoratifs : «L’Art au creux de la main», rétrospective en 200 pièces de l’art de la médaille au tournant des XIXe et XXe siècles, dans une scénographie de Christian Lacroix.


Après sept ans à courir le monde avec à ses côtés sa soeur Julia, l’Australien Angus Stone vole désormais de ses propres ailes. C’est avec en poche «Broken Brights», un puissant album folk-rock, qu’il débarque ce lundi soir sur la scène du Rocher de Palmer, à Cenon.

Demain, Bordeaux-Sud donnera le top départ de la 1re édition de Bordeaux Mon Tremplin, un tremplin interquartiers réunissant une quarantaine de groupes du cru.


Et elle a de quoi frétiller d’impatience, la Fédération des labels indés d’Aquitaine: dès ce soir et pour tout un mois, elle fête ses cinq ans à grands coups de concerts et de rencontres. 


Molière et Jean-François Sivadier : c’est une énorme affiche que nous propose jusqu’à vendredi prochain le TnBA. «Le Misanthrope», l’un des plus beaux textes du répertoire, dans une mise en scène survoltée par le metteur en scène associé du TNB de Rennes. Entretien.

Et il ne viendra pas seul, Maurice Barthélémy, l’un des ex des Robins des Bois, puisqu’à ses côtés, pour présenter samedi à 18h «Pas très normales activités» à l’UGC Ciné Cité, on verra Stéfi Calma et surtout Norman Thavaud.

Guillaume Schmidt au sax, Christophe Maroye à la guitare, Didier Ottaviani à la batterie et Benoît Lugué à la basse. Quatre noms qui sonneront familiers aux connaisseurs du jazz aquitain, mais qu’on n’avait guère eu l’occasion de voir jouer ensemble.