Il était le premier. Ex-Parisien, Enzo l’Italien a ouvert sa pizzeria à l’angle de la rue Lucien-Faure et le cours Balguerie-Stuttenberg en juillet 2015. Derrière les vitres de son restaurant, les marteaux-piqueurs et les pelleteuses étaient à l’œuvre. « Le premier jour, j’ai fait un client », raconte le professionnel qui tient également une pizzeria à Paris depuis de nombreuses années. « Les débuts ont été très difficiles ».

Le 12 septembre, les élèves du Campus des Bassins à flot ont fait leur rentrée dans un bâtiment encore en chantier. Des bandes jaune fluo strient la façade du nouvel établissement regroupant les écoles Digital Campus, Esarc Evolution, ESG, Lisaa, écran et bientôt le cours Florent. L’immeuble, rue Lucien-Faure, est pour l’instant entouré de barrières contraignant les élèves à griller leur cigarette sur une bande de deux mètres de large devant la porte d’entrée.

Historiquement dédiés à l’activité portuaire, les Bassins à flot ont gardé une industrie liée au fleuve et à la mer. On y répare des bateaux de plaisance mais aussi des péniches fluviales et autres navires. La remise en service des formes de radoubs tient toujours la route.  

Voierie, équipements collectifs, bâtiments dédiés au tourisme, nouvelles résidences : les grues sont partout aux Bassins à flot. Immersion dans une vaste zone de chantiers

C’est parti pour une deuxième semaine du côté du FAB, le Festival international des arts de Bordeaux-Métropole. Autant la danse était en vue la semaine passée, autant le théâtre prend le dessus ces prochains jours.

Même pas mi-octobre qu’il est déjà temps de penser aux vacances ? Oui, parce que les inscriptions aux stages de Toussaint de l’École de cirque de Bordeaux, c’est dès maintenant qu’il faut s’y prendre.

Dans une patinoire Mériadeck chauffée à blanc ce dimanche, les Boxers sont venus à bout des champions en titre, les Dragons de Rouen (2-1).

Une troisième victoire d’affilée, oui, mais dans la douleur. Et avec toujours une indiscipline dans les rangs qu’Ibanez peine à maîtriser.

Une quinzaine de commerçants bordelais, dont le restaurant Le Santosha ou la boulangerie Karl, viennent d’adhérer au programme Too Good To Go (“trop bon pour être jeté” en français). Ce service a été créé au printemps dernier par un groupe de Parisiennes entre 25 et 30 ans pour lutter contre le gaspillage. En fin de journée, les commerçants  inscrits au dispositif indiquent la quantité de produits qu’ils sont prêts à vendre à prix cassés.

Ils avaient signé pour « une escale de rêve » aux Bassins à Flot, « une construction exemplaire » qui devait leur être livrée fin décembre 2014 : les acquéreurs d’un appartement du programme immobilier « Côté Bassin », porté par le promoteur Kaufman & Broad, ont déchanté en prenant possession des lieux, neuf mois après la date prévue, dans une construction présentant des centaines de défauts touchant aussi bien le bardage en bois que les finitions intérieures, en passant par le débit d’eau chaude capricieux et les parties communes inachevées.