Rares sont les joueurs qui incarnent à ce point leur club. Dominique Dropsy était de ceux-là. 

Avec la frénésie festivalière qui s’est emparée de Bordeaux – Novart, le Fifib, et d’ici la fin de semaine le Mérignac Photographic Festival, Lire en Poche ou encore Animasia (et on en passe !), plus toutes les salles qui reprennent leur rythme de croisière, on aurait trop tôt fait d’oublier le petit festival qu’on aime tant, Courant d’Airs, 12e du nom, piloté par Bordeaux Chanson. Une édition parrainée par un chanteur qu’on aime tout autant, Nicolas Jules (photo).

Défenseur d’un ciné indé de qualité, le Festival international du film indépendant de Bordeaux (Fifib) revient dès ce jeudi et jusqu’à mercredi prochain pour sa 4e édition avec une compétition placée sous le signe de l’héroïsme,


Il n’y a pas que dans le ciné (au Fifib, lire par ailleurs) que la voie de l’indépendance a droit de cité : dans la musique aussi, certaines des plus belles pages s’écrivent à grands renforts de passion sans le soutien des “majors”. Pour découvrir la crème de la scène indé internationale, la Rock School propose une nouvelle saison de Barbey Indie Clubs avec rien que du beau linge sur les cinq dates déjà annoncées. Et ça démarre demain jeudi.

Evidemment quand on parle de construction en paille, on imagine tout de suite la maison des trois petits cochons. Mais les techniques ont évolué et il n’y a plus grand risque de voir le méchant loup souffler dessus car lui-même serait bien en peine de reconnaître une maison en paille d’une maison en brique ou même en béton.

Lorsqu’elle a fondé le Cornet d’amour (ancien nom du Sorbet d’amour) en 1935 au Moulleau, Marguerite Simonin n’imaginait sûrement pas qu’un jour les glaces d’Arcachon seraient vendues en Chine.

Depuis des années, les expos sensationnelles se succédaient à la Vieille Église au cœur d’une ville qui bouillait de passer à la vitesse supérieure. Après une édition de préfiguration l’an dernier, le Mérignac Photographic Festival entre ce jeudi 8 octobre dans le vif du sujet.

Oh quel bon choix de texte au Théâtre des Salinières ! Pour sortir un peu des comédies dans l’air du temps ou des boulevards classiques, Jean Mourière a voulu mettre en scène « Les Palmes de M. Schutz ».

J-10, déjà, avant les Vibrations Urbaines de Pessac, 18es du nom, du 16 au 26 octobre. Histoire de nous mettre en appétit, le festival des cultures urbaines a ouvert hier les votes pour les 15 artistes en lice au Concours d'art contemporain urbain. C'est du joli !

En marge du congrès ITS sur les transports intelligents, était présentée hier, la première rame « Connectram ». Ou comment voyager dans un univers en réalité augmentée.