Un an et demi après avoir vu la victoire lui passer sous le nez d’un cheveu lors de la 2e saison de « The Voice », Olympe prouve avec son 2e album « Une Vie par jour » qu’il a le potentiel pour s’imposer durablement sur la scène de la chanson hexagonale. 
Le voilà qui entame cette semaine une tournée de 10 dates très resserrées passant vendredi par Bordeaux.


Alors que le basculement à droite, en mars dernier lors des élections municipales, de la troisième ville du département, Pessac, laissait craindre aux responsables locaux du parti socialiste la perte de l’un des trois sièges de sénateur qu’il détenait, le statu quo a finalement prévalu, hier, lors des élections sénatoriales.

Malgré une belle réaction, mais trop tardive, l’Union Bordeaux Bègles est revenue bredouille de son voyage en Corrèze (34-24).

Longtemps malmené par une solide équipe de Rennes, Bordeaux a arraché, en toute fin de rencontre, un succès précieux (2-1), hier après-midi au stade Chaban-Delmas.

Le programme de cette édition le confirme : cela fait belle lurette que le Bon Goût d’Aquitaine ne se contente plus de son allée de stands sur l’avenue Thiers. Que les amateurs se rassurent : elle est quand même toujours bien là ! 150 producteurs du sud-ouest proposent dès aujourd’hui et jusqu’à dimanche les ingrédients incontournables d’un Bon Goût réussi : foie gras, vin, miel, jambon, bon pain, etc... De quoi faire des réserves pour l’hiver. Mais la manifestation propose aussi beaucoup d’autres choses et met encore plus l’accent cette année sur son programme d’animations et sur son engagement caritatif et solidaire.

Dominés pendant l’essentiel de la rencontre, les Girondins ont obtenu un bon match nul, hier soir à Saint-Etienne (1-1).

Première ce soir pour la re-création de « La Bohème » de Puccini au Grand-Théâtre, dans la version très Sixties de Laurent Laffargue. Un spectacle qu’on peut aussi voir en cinéma puisque, pour la première fois, l’Opéra de Bordeaux le diffuse en direct ce vendredi soir dans 60 salles de France.

Plus que l’espoir, c’est bien l’espérance, une foi indéracinable malgré les aléas de l’existence, qui tiennent droit Jean d’Ormesson, le doyen de nos Académiciens. À 87 ans, il vient de publier « Comme un chant d’espérance » (Éditions Héloïse d’Ormesson).

On les a vu passer par ici à l’occasion de l’installation de leur oeuvre « Pantalon de jogging et mocassins à pampilles » à la nouvelle station Pin Galant du tram A, et voilà que le duo franco-britannique Dewar et Gicquel débarquent à nouveau à Mérignac pour la nouvelle expo à la Vieille Église.

Non, Bernard Magrez n’a pas les poches vides. Mais avec « Expressions urbaines », l’homme d’affaires amoureux du vin et de l’art contemporain montre une nouvelle fois en son Institut culturel son appétence pour les street artists et les cultures de la rue.