Alors que le gros chantier de l’élargissement à 2x3 voies de la partie ouest de la rocade bordelaise est régulièrement menacé par le manque de financements publics, le préfet de Gironde Michel Delpuech s’est voulu rassurant hier.

« J’ai l’impression d’être dans un film futuriste », sourit Mylène, jeune femme de 25 ans.

Plutôt habituée à la puissance et la rudesse des Boxers, l’équipe de hockey de Bordeaux, la patinoire Mériadeck va découvrir, le temps d’un week-end, la grâce et la finesse de la crème des crèmes du patinage artistique mondial.

Sur un curriculum vitae, avoir effectué une partie de ses études à l’étranger est toujours un plus. Et compte tenu du niveau très aléatoire des étudiants français en langues étrangères, la destination québécoise est de plus en plus prisée.

Cela ressemble à un apéro ordinaire... et pourtant. Ici, on pratique le « Franglish ». Entendez, l’alternance entre anglais et français. Anglophones et francophones viennent discuter les uns avec les autres autour d’une table et d’un verre, sur un mode qui ressemble au speed dating.

C’est peu dire qu’elle était attendue. C’est finalement à l’heure prévue et sous les yeux de nombreux spectateurs rassemblés sur les quais de la Garonne, que l'Hermione, répliquedu navire sur lequel le marquis de La Fayette rallia les insurgés américains contre la Couronne d’Angleterre en 1780, a fait son entrée dans le port de la Lun ce mardi soir. Le navire, un trois-mâts de 65 mètres de long avec à son bord 78 membres d'équipage au complet, est arrivé au son du canonet s’est amarrée au ponton d’honneur du quai Richelieu, sous les applaudissements. Elle reste à quai jusqu’à lundi et accueillera les visiteurs tous les jours avec un programme d’animations.

Anthony Rojo a suivi l'arrivée de l'Hermione pour Direct Matin Bordeaux7. Voici quelques photos.

Les oreilles d’Alain Juppé ont dû siffler ce mardi matin. Lors d’une conférence de presse au « format inhabituel », trois de ses opposants historiques ont allié leurs forces pour combattre non pas le maire de Bordeaux lui-même mais l’un de ses projets les plus emblématiques : celui du nouveau stade.

Au moment de son départ pour l’Amérique en 1780, La Fayette ne croisa sans doute pas beaucoup de monuments aussi spectaculaires que le pont Chaban-Delmas.