« L’union fait la force », dit le proverbe. La régie de quartier Habiter Bacalan ne dira pas le contraire : comptant environ 80 salariés et une quarantaine de bénévoles, cette association a été créée en 1997 à l’initiative de plusieurs habitants du quartier qui se sont réunis pour rendre leur vie quotidienne plus agréable et plus attractive. « A l’époque, personne ne voulait venir s’installer ici, les logements se vidaient. On a voulu changer les choses », explique Agnès Valleau, directrice adjointe de l’établissement. 

La maire du Taillan-Médoc, Agnès Versepuy, vient d’écrire au préfet pour lui soumettre un projet d’arrêté municipal. L’édile souhaite interdire les poids-lourds de plus de 3,5 tonnes sur sa commune. « La coupe est pleine », a-t-elle confié il y a deux jours à nos confrères du journal « Sud Ouest ». Le courroux de l’élue porte sur la déviation du Taillan-Médoc. 

C’était la bête noire des étudiants. Depuis la rentrée, on respire un peu mieux dans les bibliothèques de l’Université de Bordeaux. A Carreire, Victoire et Talence, les horaires des trois sites proposant 4000 places assises ont été élargis le soir et le dimanche. Les étudiants peuvent aussi prendre connaissance du taux d’affluence en temps réel dans les différentes bibliothèques.

Dès ce soir, la Base sous-marine ouvre ses alvéoles à un Talençais devenu un géant mondial de la photographie : Rancinan, avec « La Probabilité du miracle », signe une épatante “plus-que-rétrospective”.

Centralité oblige, la Fnac Sainte-Catherine s’arroge le plus souvent la part du lion côté invités de marque. Mais, là, la Fnac de Bordeaux-Lac sort le grand jeu et pour cause : pour ses 10 ans cette année, le magasin vient d’être entièrement repensé et relooké.

Insaisissable Emily Loizeau, électron libre de la chanson. Après l’apaisé « Mothers & Tygers » en 2012, la Franco-Britannique nous est revenue en mai dernier avec un très singulier « Mona ». Un album qui vous prend aux tripes, qu’elle viendra défendre ce samedi 15 octobre à la M.270 de Floirac. Entretien.

À ma gauche, Claire Jacquet, la directrice du Frac Aquitaine. À ma droite, le sculpteur Jean-François Buisson créateur des Vivres de l’Art. Quel regard portent ces figures déjà historiques du quartier sur son évolution, passée et à venir ? Entretiens croisés.

Pouvait-il en être autrement pour des amoureux du patrimoine ? C’est dans une bâtisse XIXe assez unique que Le Festin a élu domicile. Un joli cadre pour une aventure qui l’est tout autant.

Elle a l’air timide comme ça, Alexandra. Il faut se méfier des apparences. La jeune femme, 35 ans, rédactrice web, cheveux bruns tirés en arrière, œil taquin, est une bavarde. Auteure de trois livres qui connaissent leur petit succès, la Bordelaise y raconte avec des mots simples comment aller puiser dans ses ressources face à la difficulté.

Ils disent se sentir « incompris ». « Annuler la Zombie walk, c’est comme si on interdisait le carnaval ou Halloween. Nous ne faisons que nous déguiser. Il n’y a rien de macabre dans notre démarche. »