Emprunter des oeuvres d’art comme on emprunte des livres. Ou presque. C’est le concept décliné depuis 2003 par l’artothèque de Pessac «les Arts au mur».

Il en est encore convaincu : son projet tenait la route, et il avait trouvé l’endroit idéal pour lui faire voir le jour.

A Pessac, l’action culturelle se présente en tir groupé. Qu’ils dépendent directement des services municipaux ou relèvent de la structure associative, les opérateurs culturels pessacais ont dévoilé ensemble, dans le cadre bucolique de l’écosite du Bourgailh, le contenu de leur saison 2011-2012.

Si vous avez envie de découvrir de nouvelles formes de création artistique (danse, musique...pétanque !) ou bien si, depuis le temps qu’on en parle à Bordeaux, vous avez envie de vous faire une idée sur la façon dont se transforme l’ancienne caserne Niel, il est chaudement recommandé d’aller y faire un tour ce week-end.

Pendant tout l’été, ils ont pris l’air dans les salons dorés du Grand-Théâtre.

«Un partenariat gagnant-gagnant». C’est ce que la ville de Mérignac va proposer demain soir à ses chefs d’entreprise lors du lancement officiel du fonds de dotation Mérignac Mécénat.

Adieu l’opérette, bonjour l’humour. Pour sa saison 2011-2012, le Casino Théâtre Barrière de Bordeaux rebat les cartes et mise sur la nouvelle valeur sûre : les spectacles comiques.

Attention, espèce menacée. Le catalogue de l’éditeur indépendant Les Requins Marteaux offre depuis vingt ans une vision iconoclaste, irrévérencieuse et expérimentale de la bande dessinée française.

Un trompettiste catalan, de l’afro-funk vaudou qui décoiffe,  un collectif cubain, un MC new-yorkais, de la cumbia portoricaine, un soulman anglais, du «hip-hop yiddish» made in Canada et des tambours du Burundi. Que faut-il dire de plus ?

Il est peu connu, mais c’est certainement l’un des plus beaux hôtels particuliers de Bordeaux. L’Hotel Labottière (à ne pas confondre avec le Petit Hotel Labottière, dans le même quartier), est installé près de la rue David Jonhston au coeur d’un parc aménagé en jardin à la française. Ce qui était à l’origine une demeure de campagne, construite en 1773 par les frères et libraires Labottière, est en passe de devenir l’un des grands lieux bordelais de l’art contemporain.